16 octobre 2012
Correspondances du passé.
" A s'en lacerer le coeur. Je crois que je t'aime. Divine bohème." "Toi qui a peur de ton ombre, doux fantôme qui hante mes nuits. Je ressens cette lacune d'amour parfois, je te l'avoue." "Mais qui es tu ? Je te connais depuis peu. Oui. Tu as disparu...